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Affichage des messages du octobre, 2006

Espoirs olympiques : Ne rien laisser au hasard

Les olympiques de 2008 à Pékin et de 2010 à Vancouver peuvent paraître bien éloignés pour le commun des mortels. Mais pour les organisateurs canadiens chaque seconde les rapproche du moment de vérité. Le sport olympique canadien a connu des difficultés pendant plusieurs années. Par l’entremise de deux plans d’action, soit Vers l’excellence pour les Jeux olympiques d’été et À nous le podium en 2010 pour les jeux d’hiver, le Comité olympique canadien espère remettre les athlètes du pays sur la carte. Les objectifs établis sont d’arriver en 16 e place au compte des médailles à Pékin et d’obtenir 35 médailles à Vancouver. « À nous le podium en 2010 est une initiative technique et sportive qui est une première de l’histoire des sports amateurs olympiques canadiens », a indiqué Mary Fraser, du service des communications du Comité olympique de Vancouver (COVAN) lors d’un entretien par courriel. Le comité a la chance de profiter de larges contributions d’entreprises privées. « COVAN

Comment demeurer écolo, même en auto?

Les questions environnementales occupent une place de plus en plus importante dans nos considérations de tous les jours. Alors, quoi de mieux pour ceux qui ne voyagent que de manière occasionnelle, que d’abandonner l’idée de posséder leur véhicule et d’opter pour l’autopartage. Mais qu’est-ce que l’autopartage? C’est un programme de location de véhicules libre-service. Il faut d’abord s’abonner, en déboursant des frais d’adhésion. Puis au moment voulu, il suffit de communiquer avec la compagnie pour réserver un véhicule, et ce, 24 heures sur 24. Nous allons chercher l’automobile au lieu désigné, pour la ramener au même endroit après l’usage requis. L’utilisation nous est facturée par forfait ou par kilométrage. Communauto c’est ça. Née en 1994 à Québec, l’entreprise est la première à avoir vu le jour au Canada. Le projet ne comptait qu’une quinzaine de participants à ses débuts. Aujourd’hui, on en dénombre 10 000 au Québec. Ayant toujours pignon sur rue à Québec, Communauto s’est r

Musée du portrait du Canada : Ottawa fait marche arrière

Malgré les 9 millions $ déjà dépensés en planification et aménagement de l’ancienne ambassade des États-Unis, le Musée du portrait du Canada n’y verra pas le jour. Le gouvernement conservateur serait d’avis que la poursuite des travaux est trop dispendieuse. Le ministère du Patrimoine canadien, gestionnaire des édifices historiques, avait estimé les frais d’aménagement du musée à 22 millions $ en janvier 2001. Quatre ans plus tard, le coût prévu avait grimpé du double, atteignant près de 45 millions $. La nouvelle qui n’a pas encore fait l’objet d’une annonce officielle a été publiée dans un article du Ottawa Citizen le 3 octobre 2006. Selon le journaliste Tim Naumetz de CanWest Média, un conservateur haut placé aurait affirmé « qu'il n'y aura pas de galerie » au 100, rue Wellington. Les multiples révisions et ajouts au projet sont pointés du doigt. Toujours selon l’article, il y aurait eu au moins 19 modifications au contrat de restauration totalisant plus de 3 millions

Service Canada néglige des demandes d’assurance emploi

Service Canada demande à ses employés de l’Ontario d’ignorer les demandes d’assurance emploi vieilles de plus de 28 jours. La tromperie dénoncée par le Syndicat de l’emploi et de l’immigration du Canada (SEIC) viserait à mieux faire paraître le rendement du traitement des demandes. « En abandonnant les demandes de plus de 28 jours, Service Canada se trouve à priver de service les personnes qui ont attendu le plus longtemps », explique Ian Shaw, le vice-président ontarien du SEIC, dans un communiqué. Selon Jeannette Meunier-McKay, présidente nationale du SEIC, les fonctionnaires ontariens ont reçu une note de service la semaine passée leur indiquant la nouvelle mesure temporaire. La présidente syndicale souligne que les dossiers prennent du retard par rapport à leur objectif en Ontario. « Ça va mieux dans les autres provinces mais au mois de décembre passé il y a eu un arriéré semblable au Québec », a précisé la présidente lors d’une entrevue téléphonique. Les employés membres