XM Canada double son nombre d’abonnés
Le distributeur XM talonne Sirius Canada dans la course pour dominer le marché de la radio satellite. Après neuf mois et grâce à plusieurs partenariats, XM atteint maintenant 120 000 abonnés au Canada.
« Le nombre d'abonnés en neuf mois dépasse toutes nos prédictions », souligne Stephen Tapp, président et directeur de l'exploitation chez XM Canada dans un communiqué de presse. L’entreprise prévoit également une large croissance en 2007.
Le service de radio satellite XM « est vendu chez plus de 2000 détaillants partout au Canada », précise un porte-parole de la compagnie. De plus, il est offert dans plus de 80 modèles de voitures produits par plusieurs fabricants automobiles. Parmi ses partenaires, on compte General Motors, Honda, Nissan, Toyota, Suzuki et Subaru.
XM vise encore plus loin. Ce distributeur est le seul à offrir son service par téléphone sans fil au moyen de son entente avec la compagnie Telus. Ce service se limite à 20 chaînes.
L’entreprise a dû hausser ses prix mensuels de 12,99 $ à 14,99 $ après avoir subi une perte de 20,4 millions de dollars au dernier trimestre. XM Canada soutient que cette augmentation était prévue et que le prix initial était une offre de lancement.
Depuis le dernier trimestre, la compagnie XM Canada a vu doubler ses abonnements. Elle se situe maintenant côte à côte avec son plus proche compétiteur Sirius.
Sirius a atteint le plateau de 100 000 abonnés en mai dernier et ce, après cinq mois de service. L’entreprise n’a pas publié de données plus récentes.
« La compagnie est extrêmement heureuse des résultats à ce jour, explique Jeff Roman, représentant médiatique de Sirius Canada lors d’un entretien téléphonique. Ils ont dépassé les attentes des gestionnaires. »
L’entreprise mise sur une différente approche pour conserver sa part du marché. Elle compte sur son entente exclusive avec Ford. Le fabricant automobile vient d’enregistrer une hausse de ses ventes canadiennes de 28,6 % depuis l’an dernier.
Autre avantage, Sirius offre un abonnement à vie au prix de 550 $. L’entreprise mise aussi sur une programmation canadienne de haut calibre ayant recruté la société Radio-Canada comme partenaire.
« La réponse des abonnés au sujet de notre programmation de gamme surpasse les attentes », précise Jeff Roman de Sirius. « Nous entendons dire que les gens adorent nos onze stations canadiennes. »
Le contenu canadien trouve aussi une place sur les ondes de XM. La compagnie table sur une programmation originale produite à Toronto, à Montréal et à Québec. Elle porte principalement sur les sports, la musique émergente canadienne et les nouvelles nationales.
Les chiffres portent à croire que la radio par satellite gagne en popularité au pays. « Ça fait partie de la tendance à l’exploration des nouvelles technologies pour obtenir notre musique et tout autre contenu », explique Jeremy deBeer, professeur adjoint à la faculté de droit de l’Université d’Ottawa et spécialiste en communications et technologie.
« Le seul choix auparavant était d’acheter des disques ou d’écouter la radio dite terrestre mais maintenant le contenu Internet et la radio satellite offrent une plus grande flexibilité et un vaste choix », ajoute l’expert.
La concurrence canadienne est semblable à ce qui se produit aux États-Unis. Par contre, chez notre voisin du sud, XM est classé au premier rang des distributeurs. Il y atteint 7 millions d’abonnés depuis sa mise en marché en 2001. Pour sa part, Sirius rejoint 4,7 millions d’abonnés.
« La concurrence dans ce domaine est de mise, a repris M. deBeer. Elle incite les prix à baisser et augmente la qualité des services offerts. »
« Le nombre d'abonnés en neuf mois dépasse toutes nos prédictions », souligne Stephen Tapp, président et directeur de l'exploitation chez XM Canada dans un communiqué de presse. L’entreprise prévoit également une large croissance en 2007.
Le service de radio satellite XM « est vendu chez plus de 2000 détaillants partout au Canada », précise un porte-parole de la compagnie. De plus, il est offert dans plus de 80 modèles de voitures produits par plusieurs fabricants automobiles. Parmi ses partenaires, on compte General Motors, Honda, Nissan, Toyota, Suzuki et Subaru.
XM vise encore plus loin. Ce distributeur est le seul à offrir son service par téléphone sans fil au moyen de son entente avec la compagnie Telus. Ce service se limite à 20 chaînes.
L’entreprise a dû hausser ses prix mensuels de 12,99 $ à 14,99 $ après avoir subi une perte de 20,4 millions de dollars au dernier trimestre. XM Canada soutient que cette augmentation était prévue et que le prix initial était une offre de lancement.
Depuis le dernier trimestre, la compagnie XM Canada a vu doubler ses abonnements. Elle se situe maintenant côte à côte avec son plus proche compétiteur Sirius.
Sirius a atteint le plateau de 100 000 abonnés en mai dernier et ce, après cinq mois de service. L’entreprise n’a pas publié de données plus récentes.
« La compagnie est extrêmement heureuse des résultats à ce jour, explique Jeff Roman, représentant médiatique de Sirius Canada lors d’un entretien téléphonique. Ils ont dépassé les attentes des gestionnaires. »
L’entreprise mise sur une différente approche pour conserver sa part du marché. Elle compte sur son entente exclusive avec Ford. Le fabricant automobile vient d’enregistrer une hausse de ses ventes canadiennes de 28,6 % depuis l’an dernier.
Autre avantage, Sirius offre un abonnement à vie au prix de 550 $. L’entreprise mise aussi sur une programmation canadienne de haut calibre ayant recruté la société Radio-Canada comme partenaire.
« La réponse des abonnés au sujet de notre programmation de gamme surpasse les attentes », précise Jeff Roman de Sirius. « Nous entendons dire que les gens adorent nos onze stations canadiennes. »
Le contenu canadien trouve aussi une place sur les ondes de XM. La compagnie table sur une programmation originale produite à Toronto, à Montréal et à Québec. Elle porte principalement sur les sports, la musique émergente canadienne et les nouvelles nationales.
Les chiffres portent à croire que la radio par satellite gagne en popularité au pays. « Ça fait partie de la tendance à l’exploration des nouvelles technologies pour obtenir notre musique et tout autre contenu », explique Jeremy deBeer, professeur adjoint à la faculté de droit de l’Université d’Ottawa et spécialiste en communications et technologie.
« Le seul choix auparavant était d’acheter des disques ou d’écouter la radio dite terrestre mais maintenant le contenu Internet et la radio satellite offrent une plus grande flexibilité et un vaste choix », ajoute l’expert.
La concurrence canadienne est semblable à ce qui se produit aux États-Unis. Par contre, chez notre voisin du sud, XM est classé au premier rang des distributeurs. Il y atteint 7 millions d’abonnés depuis sa mise en marché en 2001. Pour sa part, Sirius rejoint 4,7 millions d’abonnés.
« La concurrence dans ce domaine est de mise, a repris M. deBeer. Elle incite les prix à baisser et augmente la qualité des services offerts. »
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